Bibliography
P. L. (Patrick Leo)Henry
b. 1918–d. 2011
Henry
Works authored
Henry, P. L. [ed. and tr.], Brian Ferran [ill.], and Aonghas MacNeacail [coll.], Amra Choluim Chille: Dallán’s elegy for Columba, Belfast: Colmcille, Ultach Trust, 2006.
Edition and English translation of the poem, together with an introduction by Ciaran Carson, images of paintings by Brian Ferran, calligraphy by Donald Murray, a Scottish Gaelic version by Aonghas Dubh MacNeacail and an afterword by Aodán Mac Póilin.
Edition and English translation of the poem, together with an introduction by Ciaran Carson, images of paintings by Brian Ferran, calligraphy by Donald Murray, a Scottish Gaelic version by Aonghas Dubh MacNeacail and an afterword by Aodán Mac Póilin.
Contributions to journals
Henry, P. L. [ed. and tr.], “Amrae Con Roí (ACR): discussion, edition, translation”, Études Celtiques 31 (1995): 179–194.
abstract:
[FR} Amra Con Roí : analyse, édition, traduction.
Amra Con Roí, ou «l’éloge de Cú Roi », est l’une des œuvres archaïques en vieil-irlandais qui ont rarement été éditées. Amra Con Roí est à la source même de la tradition irlandaise : on y trouve le reflet des relations entre Ulaid et Erainn, donc une situation antérieure à l’arrivée des Gaels. L’esthétique du poème et ses traditions ethniques permettent de comprendre pourquoi il a influencé tant de générations de poètes et de seigneurs — car il se fonde essentiellement sur le thème des rapports ancestraux entre ces deux classes. C’est pourquoi il se présente comme un dānastuti, une louange de la générosité du seigneur. Ce type de poème, indigène et traditionnel, a précédé les mètres syllabiques nouveaux introduits en Irlande aux VIe-VIIe siècles.
[EN] Amra Con Roi, or the Eulogy of Cú Roi, is one of several important compositions in archaic Old Irish, which have received scant editorial attention. The poem stands at the very fountainhead of the tradition, reflecting the relations of the Ulaid with the Érainn and hence a pre-Gaelic state of affairs. From its aesthetic character and ethnic traditions we get a clear sense why it should have impressed so many generations of poets and patrons — for it is built essentially upon the age-old relationship between these two classes. Hence the dānastuti in praise of the patron’s munificence. The type of poetic artefact, native and traditional, which Amra Con Roi represents, held precedence over the new syllabic modes introduced in Ireland in the sixth-seventh centuries.
Amra Con Roí, ou «l’éloge de Cú Roi », est l’une des œuvres archaïques en vieil-irlandais qui ont rarement été éditées. Amra Con Roí est à la source même de la tradition irlandaise : on y trouve le reflet des relations entre Ulaid et Erainn, donc une situation antérieure à l’arrivée des Gaels. L’esthétique du poème et ses traditions ethniques permettent de comprendre pourquoi il a influencé tant de générations de poètes et de seigneurs — car il se fonde essentiellement sur le thème des rapports ancestraux entre ces deux classes. C’est pourquoi il se présente comme un dānastuti, une louange de la générosité du seigneur. Ce type de poème, indigène et traditionnel, a précédé les mètres syllabiques nouveaux introduits en Irlande aux VIe-VIIe siècles.
[EN] Amra Con Roi, or the Eulogy of Cú Roi, is one of several important compositions in archaic Old Irish, which have received scant editorial attention. The poem stands at the very fountainhead of the tradition, reflecting the relations of the Ulaid with the Érainn and hence a pre-Gaelic state of affairs. From its aesthetic character and ethnic traditions we get a clear sense why it should have impressed so many generations of poets and patrons — for it is built essentially upon the age-old relationship between these two classes. Hence the dānastuti in praise of the patron’s munificence. The type of poetic artefact, native and traditional, which Amra Con Roi represents, held precedence over the new syllabic modes introduced in Ireland in the sixth-seventh centuries.
Persée – Études Celtiques, vol. 31, 1995: <link>
abstract:
[FR} Amra Con Roí : analyse, édition, traduction.
Amra Con Roí, ou «l’éloge de Cú Roi », est l’une des œuvres archaïques en vieil-irlandais qui ont rarement été éditées. Amra Con Roí est à la source même de la tradition irlandaise : on y trouve le reflet des relations entre Ulaid et Erainn, donc une situation antérieure à l’arrivée des Gaels. L’esthétique du poème et ses traditions ethniques permettent de comprendre pourquoi il a influencé tant de générations de poètes et de seigneurs — car il se fonde essentiellement sur le thème des rapports ancestraux entre ces deux classes. C’est pourquoi il se présente comme un dānastuti, une louange de la générosité du seigneur. Ce type de poème, indigène et traditionnel, a précédé les mètres syllabiques nouveaux introduits en Irlande aux VIe-VIIe siècles.
[EN] Amra Con Roi, or the Eulogy of Cú Roi, is one of several important compositions in archaic Old Irish, which have received scant editorial attention. The poem stands at the very fountainhead of the tradition, reflecting the relations of the Ulaid with the Érainn and hence a pre-Gaelic state of affairs. From its aesthetic character and ethnic traditions we get a clear sense why it should have impressed so many generations of poets and patrons — for it is built essentially upon the age-old relationship between these two classes. Hence the dānastuti in praise of the patron’s munificence. The type of poetic artefact, native and traditional, which Amra Con Roi represents, held precedence over the new syllabic modes introduced in Ireland in the sixth-seventh centuries.
Amra Con Roí, ou «l’éloge de Cú Roi », est l’une des œuvres archaïques en vieil-irlandais qui ont rarement été éditées. Amra Con Roí est à la source même de la tradition irlandaise : on y trouve le reflet des relations entre Ulaid et Erainn, donc une situation antérieure à l’arrivée des Gaels. L’esthétique du poème et ses traditions ethniques permettent de comprendre pourquoi il a influencé tant de générations de poètes et de seigneurs — car il se fonde essentiellement sur le thème des rapports ancestraux entre ces deux classes. C’est pourquoi il se présente comme un dānastuti, une louange de la générosité du seigneur. Ce type de poème, indigène et traditionnel, a précédé les mètres syllabiques nouveaux introduits en Irlande aux VIe-VIIe siècles.
[EN] Amra Con Roi, or the Eulogy of Cú Roi, is one of several important compositions in archaic Old Irish, which have received scant editorial attention. The poem stands at the very fountainhead of the tradition, reflecting the relations of the Ulaid with the Érainn and hence a pre-Gaelic state of affairs. From its aesthetic character and ethnic traditions we get a clear sense why it should have impressed so many generations of poets and patrons — for it is built essentially upon the age-old relationship between these two classes. Hence the dānastuti in praise of the patron’s munificence. The type of poetic artefact, native and traditional, which Amra Con Roi represents, held precedence over the new syllabic modes introduced in Ireland in the sixth-seventh centuries.
Henry, P. L. [ed. and tr.], “Verba Scáthaige”, Celtica 21 (1990): 191–207.
Celtica – eprint (PDF): <link>
Henry, Patrick L., “Interpreting the Gaulish inscription of Chamalières”, Études Celtiques 21 (1984): 141–150.
abstract:
L’auteur de la tablette gauloise de Chamalières semble avoir fait une offrande au dieu de la fontaine. Le verbe uediiumi, comparé à irl. fíad «respect ; présence », signifie «rendre un culte ». L’auteur de la tablette utilise les charmes des femmes (brixtia anderon : avec gén. pl. de andera «jeune femme »). Il se désigne comme adgarios «invocateur ». Il invoque Maponos pour garantir un serment (serment : toncnaman, luge, luxe) et entraîne avec lui plusieurs personnages nommés, et le groupe des Segouii. Le contenu du serment n’est pas donné, mais la deuxième partie de la tablette décrit les effets attendus de l’intervention divine.
Persée – Études Celtiques, vol. 21, 1984: <link>
abstract:
L’auteur de la tablette gauloise de Chamalières semble avoir fait une offrande au dieu de la fontaine. Le verbe uediiumi, comparé à irl. fíad «respect ; présence », signifie «rendre un culte ». L’auteur de la tablette utilise les charmes des femmes (brixtia anderon : avec gén. pl. de andera «jeune femme »). Il se désigne comme adgarios «invocateur ». Il invoque Maponos pour garantir un serment (serment : toncnaman, luge, luxe) et entraîne avec lui plusieurs personnages nommés, et le groupe des Segouii. Le contenu du serment n’est pas donné, mais la deuxième partie de la tablette décrit les effets attendus de l’intervention divine.
Henry, P. L., “A linguistic survey of Ireland. Preliminary report”, Lochlann: A Review of Celtic Studies 1 (1958): 49–208.
: <link>